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Du 1/1/2015 au 1/7/2015, Shikama et ses lecteurs : plus de compassion et prières pour tous les réfugiés Rwandais se trouvant dans les forêts de la RDCongo

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Monday 12 January 2015

Les laboratoires américains des armes biologiques BSL-4 installés en Sierra Leonne, Liberia et Guinée, l’origine de l’ épidémie d’Ebola qui ravage l’Afrique de l’Ouest depuis Mars 2014. Les armes Biologiques américaines en Afrique, danger pour les Américains et le monde entier/NKUSI Joseph

On enterre la victime d'Ebola avec précautions
Nous sommes en Janvier 2014, le Laboratoire de l’université de Tulane en New Orleans aux USA qui se trouve à Kenema en Siera Leone commence une opération soi-disant de vaccination contre le virus Ebola. Des organisations internationales telles que OMS(ONU), USAMRIID(USA), CDC(USA), MSF( France), Tekmira(Canada),Glaxon SmithKline (UK), et Kenema Governement Hospital se lancent dans une campagne de sensibilisation pour cette vaccination. Mars 2014, des milliers de gens qui ont reҫu le faux vaccin commencent à avoir des complications graves : le sang coule par les narines, les oreilles, la bouche, et par l’anus. La peau se détériole à vue d’œil et les organes internes se fondent comme la neige frappée par le soleil. On commence à compter des dizaines de morts par jour, ensuite des milliers dans des semaines qui suivent, la Sierra Leone découvre que le laboratoire américain des armes biologiques  BSL-4 de Kenema était à l’origine de l’ épidémie. Le laboratoire précité est fermé par le ministère de la santé de Sierra Leone et les chercheurs américains de l’université de Tulane sont interdits de continuer leurs essais, le même ministère demande à la American Center for Disease control,CDC d'intervenir.   Une maladie bizarre:  Liquéfaction spontanée du corps même après la mort! Les tissus se tranforment en gelée même si le corps est réfrigéré pour le garder froid. Le fameux vaccin était un virus vivant  d'Ebola génétiquement modifié (OGM) qu'on a injecté délibérément aux gens pour tester d'abord le degré de  nuisance de cette arme biologique américaine et enfin tester le vaccin y relatif. Le tout était piloté par les laboratoires américains des armes biologiques, BSL-4 ( Bio safety Labo de niveau 4) se trouvant  à Kenema en Siera-Leone, Liberia, Guinée et aux USA qui travaillent pour le compte du Département d’Etat de la Défense des USA(DoD).



Epidémie d'Ebola: Sierra Leone, Liberia et Guinée
Les trois laboratoires Américains se trouvant en Sierra-Leone, Liberia et Guinée : source de l’Epidémie d’Ebola qui sévit en Afrique de l’Ouest.
Les médias américains et Européens aussitôt  l’ épidémie déclarée, ont propagé l’information que la Chauve souris venue de la République Démocratique du Congo à plus de 3500 km de la Siéra- Leone était la source de ce mal qui ravage l’Afrique de l’Ouest. Mais certains chercheurs  de renommée internationale  comme Francis Boyle  et Cyril Broderic rejettent cette hypothèse ; le premier est professeur de droit international à l'université de l'Illinois, à Champaigne aux USA, c'est lui qui a écrit le brouillon de la loi anti-terroriste contre les armes biologiques(Biological weapons anti-terrorism act) en 1989, source de la convention sur armes biologiques, qui a été votée à l'unanimité par les deux chambres du Congrès US et mise en application par George W. Bush; Boyle fut aussi membre du conseil d'administration d' AMNISTIE INTERNATIONALE pendant des années. Le second, est professeur et chercheur à la Faculté d’Agronomie à l'université du Liberia. 

Selon Francis Boyle, les laboratoires BSL-4( Bio Safety Lab de niveau 4) US de guerre biologique sont responsables de la propagation de l' épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest. Le premier laboratoire est situé à Kenema en Siera Leone, le second au Liberia et l'autre à Conakry en Guinée Conakry. Selon la même source, ces laboratoires ont été mis en place par l'USAID pour le compte du Département d'Etat de la Défence (DoD). Le Center for disease Control( CDC) a travaillé conjointement avec le National Institute for Health(NIH)-tous les deux américains- pour mélanger le virus d'Ebola vivant avec celui du Rhume Commun pour  rendre plus mortel le nouveau virus génétiquement modifié (OGM). Et c’est l’université de Tulane qui a gagné le marché des essais cliniques ( NCT02041715) du nouveau virus sur les noirs africains pour le compte du DoD. Vous pouvez suivre son interview(audio)ici.


un Virus/Photo Daily Observer

Quant à Cyril Broderic, ils se réfère sur des livres écrits entre les années 1970s et 1994 dont les auteurs ont bel et bien affirmé que les USA  fabriquent des armes biologiques et font des tests de ces armes mortelles sur les noirs hors des USA, cest-a-dire en Afrique. Le premier livre émane de Horowitz(1998) dans lequel l'auteur se demande si l'émergence de nouveaux virus comme SIDA et Ebola est pûrement accidentelle ou intentionnelle. Au chapitre 12 du même livre, l'auteur signale qu'il ya une industrie médicale militaire qui produit des armes biologiques et en font les essais sur les noirs africains hors des USA. Mr Broderic se demande pourquoi aucun leader africain fait référence à ce livre pendant ce moment difficile d'épidémie d'Ebola que traverse l'Afrique.


Broderic parle en outre d'un roman de Richard Preston ( copyrighted 1989 et 1994). Ce roman intitulé "HOT ZONE" contient une histoire terrifiante qui montre selon Broderic que les USA ont procédé  secrètement depuis longtemps à des essais des armes biologiques sur les noirs africains prétextant qu'ils administraient des vaccins. Dans ce livre, la faҫon dont Ebola Virus tue les animaux y mentionnés, est typiquement ce que fait Ebola de 2014 en Afrique de l'Ouest.

Ces allégations de ces deux chercheurs publiées sur plusieurs sites internet du monde ainsi que leurs interviews n'ont pas été démenties par les USA et leurs alliés.

Tout avait été bien programmé par les services militaires américains travaillant sur les armes biologiques, spécialement le fameux laboratoire de Fort Detrick que Cyril Broderic appelle "Ebola Building". Comme on avait terminé la production des armes bilogiques, il fallait faire des tests pour s'assurer de leur efficacité. Un journal très populaire Fredrick news Post  qui se trouve non loin du fameux site de Fort Detrick a écrit le 14/8/2010 sur ce test qui était prévu pour être conduit sur les animaux de laboratoires, malheureusement mené sur le peuple noir africain; je ne sais pas si  ces cobayes ont fait défaut pour faire des tests sur les noirs africains ; voila comment relatait cette affaire Fredrick News Post à la date précitée «  Le gouvernement fédéral travaille sur un nouveau site à Fort Detrick pour faire des recherches tres avancées  et tester de nouveaux médicaments et des vaccins sur des animaux à des fins militaires et civiles.------L'installation aura la capacité de produire des virus en forme d'aérosol et puis simuler une attaque biologique potentielle sur les animaux de laboratoire.. »

C'est cette simulation qui devait être faite sur les cobayes, mais on a préféré les noirs pour les remplacer; le résultat est là: "l' épidémie d'Ebola " qui fait rage en Afrique de l'Ouest! Pourtant les universités de Harvard et Yale  aux USA avaient prévenu les autorités américaines que de tels essais sur les humains  risquaient de créer une épidemie diffcile à contrôler dans le monde entier.


Le silence des grands médias  dans cette macabre affaire.
Il est très étonnant que seuls les médias américains ont abordé ce sujet qui embête l’Occident: " quelle est vraiment la source du Virus Ebola qui ravage l'Afrique de l'Ouest ?"; les médias convetionnels tels que le Washington Post et New York Times ont  nié l'implication du Gouvernement américain dans l' épidémie qui secoue l'Afrique de l'Ouest. Mais les médias alternatifs comme Washington Blog, Fredrick News Postthe Global Research, Before it is news se sont montrés vraiment objectifs en abordant ce sujet et se sont même donnés la peine d'accorder la parole à quiconque avait à dire sur ce sujet.C'est ainsi que le Professeur Francis Boyle fut interviewé par Washington Blog et  Il Fatto Quotidiano en grec et traduit en Franҫais par Global research. 

Les médias Franҫais(RFI), Britaniques (BBC)et Allemands (DW) appréciés pour leur bon
travail d’informer les africains et le monde ont gardé bouche bée. Quant aux USA, il est dommage que les médias pro-gouvernementaux comme le Washington Post niaient les faits que même l'administration d'Obama avait implicitement acceptés, comme nous le trouvons dans le New York Times d' Octobre 2014
"notre politique officielle est désormais d'arrêter ce genre de recherche
Cette Phrase prononcée par Obama après que l' épidemie d'Ebola avait à peine commencé à décimer les gens  en Afrique de l'Ouest, montre bien qu'il reconnaît que les USA faisaient des recherches sur les armes biologiques ; et pour calmer les esprits, il promet que ces recherches devraient être suspendues, ce que ne croient pas les gens comme Francis Boyle.


      Les chefs d’Etats corrompus par les USA pour abriter, produire  ou tester les virus mortels de ses 
      Laboratoires comme EBOLA.   
     Ce n’est pas la première fois que les USA se servent des humains comme cobayes pour tester les virus produits dans leurs laboroires. Selon Guzman dans  Before it is news, entre 1946  et 1948, sous le Président Harry S. Truman en collaboration avec le président de Guatemala Jose Arevalo et son administration ont infecté délibérément plus de 1500 prostitués, soldats, prisoniers et des malades mentaux  avec le syphilis et des autres maladies sexuellement transmissibles comme la gonorhée et le chancre sur 5500 Guatemaliens qui participèrent à ce test. Ces gens infectés n’avaient pas été informés pour donner leur consentement pour le test. Cet acte honteux a été découvert en 2010  par Pr M. Reverby dans les archives de l’université de Wellesley College en Pennsylvania aux USA.

      Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), dans son document  intitulé Fact Sheet 103on a 5 sortes d’Ebola : Zaire, Sudan, Bundiburyo, Reston et Tai Forest ;  les  4  premières sont d’origine africaine. La première épidémie du Virus Ebola s’est déclarée en 1976 au Zaire et Soudan, en ce moment là, la maladie du Virus Ebola ou Ebola Virus Disease(EVD) au Zaire était mortelle à 88%, et 55% au Soudan. Certaines personnes affirment à tort ou à raison que c’est la première fois que  les USA ont introduit le Virus Ebola sur le continent Africain avec la complaisance du feu Maréchal Mobutu Sese Seko qui était président du Zaire actuellement dénommé la République Démocratique du Congo(RDC) et il est aussi  soupconné d’avoir collaboré avec la CIA dans d’autres sales besognes en Angola, Afrique du Sud pendant la politique odieuse d’Apartheid,---etc. Géographiquement, Soudan et Bundiburyo(en Uganda) se trouvent non loin du Zaire ; on peut affirmer donc que Bundiburyo et Sudan  ont été infectés par les mêmes laboratoires américains mais avec des virus Ebola de souches différentes pour faire des analyses comparatives quant au degré de fatalité et d’aéorosolisation. L’OMS dans le même document ci-haut cité affirme que EVD de 2014 qui secoue l’Afrique de l’Ouest est d’origine EVD du Zaire et plus complexe que les EVD des années précédentes. Donc ceux  qui disent que les Laboratoires BSL-4 ont génétiquement modifié le virus d’Ebola original ne se trompent pas.

     L’ épidémie d’Ebola qui ravage actuellement l’Afrique de l’Ouest peut nous aider à mieux comprendre  la politique des leaders africains en matière de protection des citoyens. En effet, les occidentaux accusent  les dirigeants africains de corruption mais  l’EVD qui prévaut en Afrique de l’Ouest nous montre bien que ce sont ces mêmes accusateurs qui sèment la corruption en Afrique pour les intérêts de leurs pays. Nous pouvons soutenir cet argument par deux exemples suivants : Le contrat signé en en 1984 entre le régime du sergeant Chef Samuel Doe qui était président de Liberia et les américains pour installer le laboratoire BSL-4 dans ce pays ;  même un petit enfant peut détecter facilement l’impact négatif de ce contrat sur la vie des citoyens du Liberia que dirigeait ce militaire; je ne sais pas s’il a accepté cette trahison sans contre-partie !Voici certaines lignes affreuses de ce fameux contrat lues par Francis Boyle avant que celui-ci ne  soit classifié : « Il pourraît y avoir cette terrible forme de maladie émergente, et nous devons  dévélopper un vaccin pour cela. Et donc nous allons commencer à travailler sur ce virus, il est possible que nous ayons à le modifier génétiquement et----»  

     Un autre signe de corruption semée par l'administration USA et ses alliés occidentaux, c’est que la Siera- Leone qui abrite un laboratoire américain de prolifération des armes biologiques BSL-4 a signé la Convention sur les Armes Biologiques ; et l’administration des USA en était bien au courarnt, ce pays ne devrait donc  pas avoir un tel laboratoire sur son sol selon les termes de ladite convention. Nous pouvons déduire de ces contrats que à travers la corruption, les grandes puissances dont les USA incitent les pays africains à ne pas ratifier certaines conventions intenationales pour leurs intérets ! En effet, si la Guinée et le Liberia n’ont pas signé la Convetion sur les Armes Biologiques ce n’est pas parce que ces 2 pays envisagent de faire des recherches sur les armes bilogiques sur leurs territoires respectifs car ils n’en n’ont pas ni les moyens et la capacité non plus, c’est plutôt les USA qui les ont poussés à ne pas signer cette convention parceque ce dernier savait qu’ils pourraient abriter dans le futur ses laboratoires BSL-4 qui sont là -bas aujourd’hui et source de l’ épidémie d’Ebola qui secoue actuellement l’Afrique de l’Ouest.
    
   Les armes biologiques en Afrique, une armne à double tranchant pour les américains  et le monde entier 
     Plusieurs pays ont érigé des laboratoires  d' armes biologiques pendant la guerre froide tels que  la Russie dont une simple fuite d’un virus Anthrax coûta la vie à plus de 100 personnes qui se trouvaient près d’un laboratoire en 1979 ; l’Afrique du Sud à l’aide des USA et la GB pendant l’Apartheid avait aussi mis sur pied des laboratoires pour Produire le virus Ebola, le SIDA, Anthrax, Cholera, Salmonella, Marburg,etc. Le régime blanc avait commencé même à dévélopper un virus racial pour stériliser les noirs sud- africains. Après la libération de Nelson Mandela, l’Afrique du Sud a abandonné son programme de recherche sur les armes biologiques.

      Les USA quant à eux, au moment où les autres pays cessent de produire les armes biologiques,  ce pays accroît ses recherches dans la matière. Aujourd'hui les USA comptent 1500 Laboratoires  opérés par 324 organisations privées, gouvernementales et universitaires à l’intérieur de ce pays ainsi que 14,000 scientifiques. Ils possèdent  aussi 120 sites éparpillés dans plusieurs pays du monde dont la Siera Leone, Liberia, et la Guinée où sévit actuellement l’ épidémie Ebola ; le Kenya, et l’Ouganda en Afrique de l’est  qui servent de stock de ces armes biologiques américaines. Bien que les autorités américaines disent que ces virus sont traités pour des fins défensives, beaucoup de scientifiques et chercheurs dont  Francis Boyle  affirment que c’est plutôt pour des fins offensives. Notons en passant que les USA ont enregistré de 2004 -2010 plus de 727 incidents sur ces sites, et dans certains cas, ceux-ci étaient mortels.  Rappelons ici que certains medias affirment que les USA ont vendu des armes biologiques à Sadam Hussein et l’ ont autorisé à utiliser des armes chimiques contre l’Iran pendant que ces deux pays se battaient pour le contrôle du Chatt-el-Arab du 22/9/1980 au 20/8/1988 et qui coûta la vie à plus de 800,000 personnes.

     Mais l’administration américaine a constaté vers la fin qu’il ne fallait pas donner de telles armes à un leader comme Saddam Hussein qui pouvait les utiliser contre Israel et les pays arabes alliés des USA comme le Koweit. D’où la source des deux guerres lancées contre le régime de Saddam Hussein en 1991 et 2001 pour récupérer ces armes distribuées par les américains  à Sadam Hussein!  En gardant des armes biologiques en Afrique, l’administration américaine devrait se méfier un tout petit peu du danger qu’elles constituent. Bien que ces armes ne présentent pas une menace contre Israel comme l' Iraq de Saddam Hussein, nous pouvons affirmer que ces armes biologiques sur le sol africain, est une arme à double tranchant pour les USA et le monde entier pour des raisons suivantes :

  •        Presque tous les pays africains sont dirigés par des leaders ayant des valeurs anti-démocratiques et ils sont soutenus par les occidentaux qui les supportent financièrement et diplômatiquement. Ces dirigeants corrompus par ces occidentaux ne tiennent pas en considération le bien être de leurs peuples, ils font plutôt n’importe quoi pour gagner une manne  d’argent et une protection pour se maintenir au pouvoir; cest le cas du capitaine Samuel Doe qui signa le contrat cité ci-haut pour installer un site d' armes biologiques sur le sol de son pays, faisant fi du danger que constituaient ces armes sur ses concitoyens. Frappé par la misère et n’ayant pas droit d’expression comme c’était le cas dans le passé en Siera leonne, Liberia, et en Guinné, un peuple déséspéré peut s’accaparer des sites  abritant ces armes biologiques et y mettre du feu  et provoquer une épidemie difficile à maîtriser.

  • .        L’Afrique connaît depuis 20 ans une insécurité liée à des guerres civiles qui ont donné naissance à des milliers de milices et  des mouvements d’extrêmistes religieux. On a Al Qaida dans le Maghreb Arab, AQMI  au Maghreb qui a pris des touristes occidentaux en ôtage plus de 2 fois pendant ces cinq dernières années. On a Al Shabab, allié d’Al Qaida qui a attaqué à la bombe simultanément les ambassades américaines de Nairobi et Dar es Salaam le 7/8/1998, et ces Al Shabab  à leur tour ont montré la vulnérabilité du Kenya l’an dernier en 2013 en attaquant un centre commercial à Nairobi la capitale de ce pays, sans que l’armée et la police Kenyannes puissent les maîtriser 3 jours durant alors que le nombre de terroristes ne dépassait pas 18 personnes. Il s’est avéré que parmi les militaires et les policiers de ce pays se cachaient des traîtres qui collaboraient avec les attaquants, tout cela à cause de la corruption. Si ces 2 organisations à travers la corruption parviennent à mettre la main sur ces armes biologiques américaines se trouvant au Kenya, ce sera la fin du monde.
  • .       Les bandits armés que la sécurité locale  dans ces pays ne parvient pas à maîtriser peuvent aussi s’accaparer de ces armes biologiques pour le compte des mouvements hors la loi ci-haut cités moyennant une somme d’argent, sachant que ces mouvements sont très riches. Le cambriolage par les coupeurs de route  en Guinée le 23/11/2014 d’un taxi qui transportait des échantillons du sang qui contiendrait le virus Ebola, peut être un bon exemple. La disparition de ces échantillons constitue un grand danger si ces bandits les vendaient à des groupes dits terroristes comme l’AQMI ou même Bokko Haram du Nigeria.
Avant de conclure, posons-nous quelques questions
  •            Est- ce que les dirigeants africains sont conscients du danger que leurs pays encourent en acceptant des armes biologiques sur leurs territoires ?
  •           Que fait l’organisation continentale, l’Union Africaine pour protéger les peuples africains et empêcher que le continent continue d’ être une compostière de déchets toxiques, armes chimiques et biologiques des occidentaux, et les peuples africains servir de cobayes pour tester ces armes ?
     Après la soi-disant vaccination qui n’était qu’une injection du virus Ebola chez les noirs africains, une mise en scène-comme le nomme Francis Boyle- de l’armée américaine pour combattre Ebola ou plutôt voir si l’arme biologique du DoD qui est Ebola OGM est bien efficace, et enfin une mise en place d’un vaccin endéans quelques mois au lieu des années et que ce dernier donne des resultats prometteurs selon les occidentaux, tout cela nous montre que nous avons affaire à des choses bien planifiées depuis longtemps.

 Quoiqu’il en soit, il faut que  les africains se réveillent de leur léthargie et prennent leur destinnée en mains. La révolution populaire qui vient de chasser un régime totalitaire vieux de presque 30 ans  au Burkina Faso devrait réveiller les jeunes de tous les pays africains pour responsabiliser leurs dirigeants afin qu'ils sachent ques les intérêts supérieurs de la nation doivent primer sur les intérêts personnels et ceux des prédateurs étrangers. En plus, une création d’ organisations supranationales sur le continent africain vraiment indépendantes et opérationnelles pour protéger les peuples africains est vivement souhaitée, sinon demain les noirs africains disparaîtront comme des mammouths et les dinausors ! Il est aussi urgent que tous les pays ansi que les organisations impliqués dans cette épidémie d'Ebola qui prévaut en Afrique de l'Ouest donnent des compensations à toutes les victimes et  travaillent d'urgence pour trouver un vaccin. Enfin, les peuples victimes doivent s'arranger pour amener les coupables devant la justice locale ou internationale.

      
      Dr NKUSI Joseph


A Propos de l'auteur:

  •    NKUSI Joseph
  •     PhD en Planification et Dévéloppement Social + Diplome Supérieur en Médecine( Health Policy. Economics and Management)
  •      Professeur à l'université de Misrata en Libye. 2003- Jan.2007
  •      Professeur à l'université Nationale du Rwanda au Rwanda. Mars2007-Août 2009
  •      Chef de Département des Sciences Sociales(Université Nationale du Rwanda). Nov.2008-Août 2009
  •    Cherccheur Principal à UNIFOB GLOBAL, Bergen University au Norvège. 19 Août 2009-31 Déc.2009
  •       Propriétaire de Sites suivants:  - Shikamaye.blogspot.com en Kinyarwanda
                                                                               
                                                                     - shikamale.plogspot.com en FRANCAIS
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