On enterre la victime d'Ebola avec précautions |
Epidémie d'Ebola: Sierra Leone, Liberia et Guinée |
Les médias américains et Européens
aussitôt l’ épidémie déclarée, ont propagé l’information que la Chauve souris venue de la République Démocratique du Congo à plus de 3500 km de la Siéra- Leone était
la source de ce mal qui ravage l’Afrique de l’Ouest. Mais certains chercheurs
de renommée
internationale comme Francis Boyle et Cyril Broderic rejettent cette hypothèse ; le premier est professeur de droit
international à l'université de l'Illinois, à Champaigne aux USA, c'est lui
qui a écrit le brouillon de la loi anti-terroriste
contre les armes biologiques(Biological
weapons anti-terrorism act) en 1989, source de la convention
sur armes biologiques, qui a été votée à l'unanimité par les deux chambres du
Congrès US et mise en application par George W. Bush; Boyle fut aussi membre du conseil d'administration d' AMNISTIE INTERNATIONALE pendant des années. Le second,
est professeur et chercheur à la Faculté d’Agronomie à l'université du Liberia.
Selon Francis Boyle, les laboratoires BSL-4( Bio Safety Lab de
niveau 4) US de guerre biologique sont responsables de la propagation
de l' épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest. Le premier laboratoire est situé à
Kenema en Siera Leone, le second au Liberia et l'autre à Conakry en Guinée
Conakry. Selon la même source, ces laboratoires ont été mis en place par l'USAID pour
le compte du Département d'Etat de la Défence (DoD). Le Center
for disease Control( CDC) a travaillé conjointement avec le National Institute for
Health(NIH)-tous les deux américains- pour mélanger le virus
d'Ebola vivant avec celui du Rhume Commun pour rendre plus mortel le nouveau virus génétiquement
modifié (OGM). Et c’est l’université de Tulane qui a gagné le marché des essais cliniques ( NCT02041715)
du
nouveau virus sur les noirs africains pour le compte du DoD. Vous pouvez suivre son interview(audio)ici.
Quant à Cyril Broderic, ils se réfère sur des livres écrits entre les années 1970s et 1994 dont les auteurs ont bel et bien affirmé que les USA fabriquent des armes biologiques et font des tests de ces armes mortelles sur les noirs hors des USA, cest-a-dire en Afrique. Le premier livre émane de Horowitz(1998) dans lequel l'auteur se demande si l'émergence de nouveaux virus comme SIDA et Ebola est pûrement accidentelle ou intentionnelle. Au chapitre 12 du même livre, l'auteur signale qu'il ya une industrie médicale militaire qui produit des armes biologiques et en font les essais sur les noirs africains hors des USA. Mr Broderic se demande pourquoi aucun leader africain fait référence à ce livre pendant ce moment difficile d'épidémie d'Ebola que traverse l'Afrique.
Broderic parle en outre d'un roman de Richard Preston ( copyrighted 1989 et 1994). Ce roman intitulé "HOT ZONE" contient une histoire terrifiante qui montre selon Broderic que les USA ont procédé secrètement depuis longtemps à des essais des armes biologiques sur les noirs africains prétextant qu'ils administraient des vaccins. Dans ce livre, la faҫon dont Ebola Virus tue les animaux y mentionnés, est typiquement ce que fait Ebola de 2014 en Afrique de l'Ouest.
Ces allégations de ces deux chercheurs publiées sur plusieurs sites internet du monde ainsi que leurs interviews n'ont pas été démenties par les USA et leurs alliés.
Tout avait été bien programmé par les services militaires américains travaillant sur les armes biologiques, spécialement le fameux laboratoire de Fort Detrick que Cyril Broderic appelle "Ebola Building". Comme on avait terminé la production des armes bilogiques, il fallait faire des tests pour s'assurer de leur efficacité. Un journal très populaire Fredrick news Post qui se trouve non loin du fameux site de Fort Detrick a écrit le 14/8/2010 sur ce test qui était prévu pour être conduit sur les animaux de laboratoires, malheureusement mené sur le peuple noir africain; je ne sais pas si ces cobayes ont fait défaut pour faire des tests sur les noirs africains ; voila comment relatait cette affaire Fredrick News Post à la date précitée « Le gouvernement fédéral travaille sur un nouveau site à Fort Detrick pour faire des recherches tres avancées et tester de nouveaux médicaments et des vaccins sur des animaux à des fins militaires et civiles.------L'installation aura la capacité de produire des virus en forme d'aérosol et puis simuler une attaque biologique potentielle sur les animaux de laboratoire.. »
un Virus/Photo Daily Observer |
Quant à Cyril Broderic, ils se réfère sur des livres écrits entre les années 1970s et 1994 dont les auteurs ont bel et bien affirmé que les USA fabriquent des armes biologiques et font des tests de ces armes mortelles sur les noirs hors des USA, cest-a-dire en Afrique. Le premier livre émane de Horowitz(1998) dans lequel l'auteur se demande si l'émergence de nouveaux virus comme SIDA et Ebola est pûrement accidentelle ou intentionnelle. Au chapitre 12 du même livre, l'auteur signale qu'il ya une industrie médicale militaire qui produit des armes biologiques et en font les essais sur les noirs africains hors des USA. Mr Broderic se demande pourquoi aucun leader africain fait référence à ce livre pendant ce moment difficile d'épidémie d'Ebola que traverse l'Afrique.
Broderic parle en outre d'un roman de Richard Preston ( copyrighted 1989 et 1994). Ce roman intitulé "HOT ZONE" contient une histoire terrifiante qui montre selon Broderic que les USA ont procédé secrètement depuis longtemps à des essais des armes biologiques sur les noirs africains prétextant qu'ils administraient des vaccins. Dans ce livre, la faҫon dont Ebola Virus tue les animaux y mentionnés, est typiquement ce que fait Ebola de 2014 en Afrique de l'Ouest.
Ces allégations de ces deux chercheurs publiées sur plusieurs sites internet du monde ainsi que leurs interviews n'ont pas été démenties par les USA et leurs alliés.
Tout avait été bien programmé par les services militaires américains travaillant sur les armes biologiques, spécialement le fameux laboratoire de Fort Detrick que Cyril Broderic appelle "Ebola Building". Comme on avait terminé la production des armes bilogiques, il fallait faire des tests pour s'assurer de leur efficacité. Un journal très populaire Fredrick news Post qui se trouve non loin du fameux site de Fort Detrick a écrit le 14/8/2010 sur ce test qui était prévu pour être conduit sur les animaux de laboratoires, malheureusement mené sur le peuple noir africain; je ne sais pas si ces cobayes ont fait défaut pour faire des tests sur les noirs africains ; voila comment relatait cette affaire Fredrick News Post à la date précitée « Le gouvernement fédéral travaille sur un nouveau site à Fort Detrick pour faire des recherches tres avancées et tester de nouveaux médicaments et des vaccins sur des animaux à des fins militaires et civiles.------L'installation aura la capacité de produire des virus en forme d'aérosol et puis simuler une attaque biologique potentielle sur les animaux de laboratoire.. »
C'est cette simulation qui
devait être faite sur les cobayes, mais on a préféré les noirs pour les
remplacer; le résultat est là: "l'
épidémie d'Ebola " qui fait rage en Afrique de l'Ouest! Pourtant
les universités de Harvard et Yale aux USA avaient prévenu les autorités américaines
que de tels essais
sur les humains risquaient de créer une épidemie diffcile à contrôler dans le monde entier.
Le silence des grands médias dans
cette macabre
affaire.
Il est très étonnant que seuls
les médias américains ont abordé ce sujet qui embête l’Occident: "
quelle est vraiment la source du Virus Ebola qui ravage l'Afrique de l'Ouest
?"; les médias convetionnels tels que le Washington Post et New York
Times ont nié l'implication du Gouvernement américain dans l' épidémie
qui secoue l'Afrique de l'Ouest. Mais les médias
alternatifs comme Washington Blog, Fredrick News Post, the
Global Research, Before it is news se sont montrés vraiment objectifs en abordant ce sujet et se sont même donnés la peine
d'accorder la parole à quiconque avait à dire sur ce sujet.C'est ainsi que le
Professeur Francis Boyle fut interviewé par Washington Blog et Il
Fatto Quotidiano en grec
et traduit en Franҫais
par Global research.
Les médias Franҫais(RFI), Britaniques (BBC)et Allemands (DW) appréciés pour leur
bon
travail d’informer les
africains et le monde ont gardé bouche bée. Quant aux USA, il est dommage que
les médias pro-gouvernementaux comme le Washington Post niaient les faits que même
l'administration d'Obama avait implicitement acceptés, comme nous le trouvons dans le New York Times d' Octobre 2014:
"notre politique officielle est désormais d'arrêter ce genre de recherche"
Cette Phrase prononcée par Obama après que l' épidemie d'Ebola avait à peine commencé à décimer les gens en Afrique de l'Ouest, montre bien qu'il reconnaît que les USA faisaient des recherches sur les armes biologiques ; et pour calmer les esprits, il promet que ces recherches devraient être suspendues, ce que ne croient pas les gens comme Francis Boyle.
Quoiqu’il en soit, il faut que les africains se réveillent de leur léthargie et prennent leur destinnée en mains. La révolution populaire qui vient de chasser un régime totalitaire vieux de presque 30 ans au Burkina Faso devrait réveiller les jeunes de tous les pays africains pour responsabiliser leurs dirigeants afin qu'ils sachent ques les intérêts supérieurs de la nation doivent primer sur les intérêts personnels et ceux des prédateurs étrangers. En plus, une création d’ organisations supranationales sur le continent africain vraiment indépendantes et opérationnelles pour protéger les peuples africains est vivement souhaitée, sinon demain les noirs africains disparaîtront comme des mammouths et les dinausors ! Il est aussi urgent que tous les pays ansi que les organisations impliqués dans cette épidémie d'Ebola qui prévaut en Afrique de l'Ouest donnent des compensations à toutes les victimes et travaillent d'urgence pour trouver un vaccin. Enfin, les peuples victimes doivent s'arranger pour amener les coupables devant la justice locale ou internationale.
Dr NKUSI Joseph
A Propos de l'auteur:
- shikamale.plogspot.com en FRANCAIS
- shikamago.plogspot.com en ANGLAIS
Cette Phrase prononcée par Obama après que l' épidemie d'Ebola avait à peine commencé à décimer les gens en Afrique de l'Ouest, montre bien qu'il reconnaît que les USA faisaient des recherches sur les armes biologiques ; et pour calmer les esprits, il promet que ces recherches devraient être suspendues, ce que ne croient pas les gens comme Francis Boyle.
Les chefs d’Etats corrompus par les USA pour
abriter, produire ou tester les virus
mortels de ses
Laboratoires comme EBOLA.
Laboratoires comme EBOLA.
Ce n’est pas la première fois que les USA se servent des humains comme
cobayes pour tester les virus produits dans leurs laboroires. Selon Guzman dans Before it is news, entre 1946 et 1948, sous le Président
Harry S. Truman en collaboration
avec le président de Guatemala Jose Arevalo et son administration ont infecté délibérément plus de 1500
prostitués, soldats, prisoniers et des malades
mentaux avec le syphilis et des autres
maladies sexuellement transmissibles comme la gonorhée
et le chancre sur 5500 Guatemaliens qui participèrent
à ce test. Ces gens infectés n’avaient pas été informés pour donner leur
consentement pour le test. Cet acte honteux a été découvert en 2010
par Pr M. Reverby dans les
archives de l’université de Wellesley College en Pennsylvania aux USA.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé
(OMS), dans son document intitulé Fact Sheet 103, on a 5 sortes
d’Ebola : Zaire, Sudan, Bundiburyo,
Reston et Tai Forest ; les 4 premières sont d’origine africaine. La
première épidémie du Virus Ebola s’est déclarée en 1976 au Zaire et Soudan, en
ce moment là, la maladie du Virus Ebola ou Ebola Virus Disease(EVD)
au Zaire était mortelle à 88%, et 55% au Soudan. Certaines personnes
affirment à tort ou à raison que c’est la première fois que les USA ont introduit le Virus Ebola sur le
continent Africain avec la complaisance
du feu Maréchal Mobutu Sese Seko qui était président du Zaire actuellement
dénommé la République Démocratique du Congo(RDC) et il est aussi soupconné d’avoir
collaboré avec la CIA dans d’autres sales besognes en Angola, Afrique du Sud pendant la
politique odieuse d’Apartheid,---etc. Géographiquement, Soudan et Bundiburyo(en
Uganda) se trouvent non loin du Zaire ; on peut affirmer donc que Bundiburyo
et Sudan ont été infectés par les mêmes
laboratoires américains mais avec des virus Ebola de souches différentes pour
faire des analyses comparatives quant au degré de fatalité et d’aéorosolisation. L’OMS dans le même
document ci-haut cité affirme que EVD
de 2014 qui secoue l’Afrique de l’Ouest est d’origine EVD du Zaire et plus complexe que les EVD des années précédentes.
Donc ceux qui disent que les
Laboratoires BSL-4 ont génétiquement
modifié le virus d’Ebola original ne se trompent pas.
L’ épidémie d’Ebola qui ravage
actuellement l’Afrique de l’Ouest peut nous aider à mieux comprendre la politique des leaders africains en matière
de protection des citoyens. En effet, les occidentaux accusent les dirigeants africains de corruption
mais l’EVD qui prévaut en Afrique de
l’Ouest nous montre bien que ce sont ces mêmes accusateurs qui sèment la
corruption en Afrique pour les intérêts de leurs pays. Nous pouvons soutenir cet argument par deux exemples suivants : Le contrat signé en en 1984 entre le régime du sergeant Chef
Samuel Doe qui était président de Liberia et les américains pour installer le
laboratoire BSL-4 dans ce pays ;
même un petit enfant peut détecter
facilement l’impact négatif de ce contrat sur la vie des citoyens du Liberia que
dirigeait ce militaire; je ne sais pas s’il a accepté cette trahison sans
contre-partie !Voici certaines lignes affreuses de ce fameux contrat lues
par Francis Boyle avant que celui-ci ne soit classifié : « Il pourraît y avoir cette terrible forme de
maladie émergente, et nous
devons dévélopper un vaccin pour cela. Et donc nous allons
commencer à travailler sur ce
virus, il est possible que nous ayons à le modifier génétiquement et----»
Un autre signe de
corruption semée par l'administration USA et ses alliés occidentaux, c’est que la Siera- Leone qui abrite un
laboratoire américain de prolifération des armes biologiques BSL-4 a signé la Convention sur les
Armes Biologiques ; et l’administration des USA en était bien au courarnt,
ce pays ne devrait donc pas avoir un tel
laboratoire sur son sol selon les termes de ladite convention. Nous pouvons déduire de ces contrats que à
travers la corruption, les grandes puissances dont les USA incitent les pays
africains à ne pas ratifier certaines conventions intenationales pour leurs intérets !
En effet, si la Guinée et le
Liberia n’ont pas signé la Convetion sur les Armes Biologiques ce n’est pas
parce que ces 2 pays envisagent
de faire des recherches sur les armes bilogiques sur leurs territoires respectifs
car ils n’en n’ont pas ni les moyens et la capacité non plus, c’est
plutôt les USA qui les ont poussés à ne pas signer cette convention parceque ce dernier savait qu’ils
pourraient abriter dans le futur ses laboratoires BSL-4
qui sont là -bas aujourd’hui et source de l’ épidémie d’Ebola qui secoue
actuellement l’Afrique de l’Ouest.
Les armes
biologiques en Afrique, une armne à double tranchant pour les américains et le
monde entier
Plusieurs pays ont érigé des laboratoires d' armes biologiques pendant la guerre froide tels que la Russie dont une simple fuite d’un virus Anthrax coûta la vie à plus de 100 personnes qui se trouvaient près d’un laboratoire en 1979 ; l’Afrique du Sud à l’aide des USA et la GB pendant l’Apartheid avait aussi mis sur pied des laboratoires pour Produire le virus Ebola, le SIDA, Anthrax, Cholera, Salmonella, Marburg,etc. Le régime blanc avait commencé même à dévélopper un virus racial pour stériliser les noirs sud- africains. Après la libération de Nelson Mandela, l’Afrique du Sud a abandonné son programme de recherche sur les armes biologiques.
Plusieurs pays ont érigé des laboratoires d' armes biologiques pendant la guerre froide tels que la Russie dont une simple fuite d’un virus Anthrax coûta la vie à plus de 100 personnes qui se trouvaient près d’un laboratoire en 1979 ; l’Afrique du Sud à l’aide des USA et la GB pendant l’Apartheid avait aussi mis sur pied des laboratoires pour Produire le virus Ebola, le SIDA, Anthrax, Cholera, Salmonella, Marburg,etc. Le régime blanc avait commencé même à dévélopper un virus racial pour stériliser les noirs sud- africains. Après la libération de Nelson Mandela, l’Afrique du Sud a abandonné son programme de recherche sur les armes biologiques.
Les USA quant à eux, au moment où les autres pays cessent de produire les armes biologiques, ce pays accroît ses recherches dans la matière. Aujourd'hui les USA comptent 1500 Laboratoires opérés par 324
organisations privées, gouvernementales et universitaires à l’intérieur de ce pays ainsi que 14,000 scientifiques. Ils possèdent
aussi 120 sites éparpillés dans plusieurs pays du monde dont la Siera Leone, Liberia, et la Guinée où sévit
actuellement l’ épidémie Ebola ; le Kenya,
et l’Ouganda en Afrique de l’est qui servent de stock de ces armes
biologiques américaines. Bien que les autorités américaines disent que ces
virus sont traités pour des fins défensives, beaucoup de scientifiques et
chercheurs dont Francis Boyle affirment que c’est plutôt pour des
fins offensives. Notons en passant que les USA ont enregistré de 2004 -2010
plus de 727 incidents sur ces sites, et dans certains cas, ceux-ci étaient
mortels. Rappelons ici que certains medias affirment que les USA ont
vendu des armes biologiques à Sadam Hussein et l’ ont autorisé à utiliser des
armes chimiques contre l’Iran pendant que ces deux pays se battaient pour le
contrôle du Chatt-el-Arab du 22/9/1980 au 20/8/1988 et qui coûta la vie à plus de 800,000 personnes.
Mais l’administration américaine a constaté
vers la fin qu’il ne fallait pas donner de telles armes à un leader comme
Saddam Hussein qui pouvait les utiliser contre Israel et les pays arabes alliés
des USA comme le Koweit. D’où la source des deux guerres lancées contre le régime de Saddam Hussein en 1991 et
2001 pour récupérer ces armes distribuées par les américains à Sadam Hussein! En gardant des armes
biologiques en Afrique, l’administration américaine devrait se méfier un tout
petit peu du danger qu’elles constituent. Bien que ces armes ne présentent pas
une menace
contre Israel comme l' Iraq de Saddam Hussein, nous pouvons affirmer que ces armes biologiques sur le
sol africain, est une arme à double tranchant pour les USA et le monde entier pour des raisons
suivantes :
- Presque tous les pays africains sont dirigés par des leaders ayant des valeurs anti-démocratiques et ils sont soutenus par les occidentaux qui les supportent financièrement et diplômatiquement. Ces dirigeants corrompus par ces occidentaux ne tiennent pas en considération le bien être de leurs peuples, ils font plutôt n’importe quoi pour gagner une manne d’argent et une protection pour se maintenir au pouvoir; cest le cas du capitaine Samuel Doe qui signa le contrat cité ci-haut pour installer un site d' armes biologiques sur le sol de son pays, faisant fi du danger que constituaient ces armes sur ses concitoyens. Frappé par la misère et n’ayant pas droit d’expression comme c’était le cas dans le passé en Siera leonne, Liberia, et en Guinné, un peuple déséspéré peut s’accaparer des sites abritant ces armes biologiques et y mettre du feu et provoquer une épidemie difficile à maîtriser.
- . L’Afrique connaît depuis 20 ans une insécurité liée à des guerres civiles qui ont donné naissance à des milliers de milices et des mouvements d’extrêmistes religieux. On a Al Qaida dans le Maghreb Arab, AQMI au Maghreb qui a pris des touristes occidentaux en ôtage plus de 2 fois pendant ces cinq dernières années. On a Al Shabab, allié d’Al Qaida qui a attaqué à la bombe simultanément les ambassades américaines de Nairobi et Dar es Salaam le 7/8/1998, et ces Al Shabab à leur tour ont montré la vulnérabilité du Kenya l’an dernier en 2013 en attaquant un centre commercial à Nairobi la capitale de ce pays, sans que l’armée et la police Kenyannes puissent les maîtriser 3 jours durant alors que le nombre de terroristes ne dépassait pas 18 personnes. Il s’est avéré que parmi les militaires et les policiers de ce pays se cachaient des traîtres qui collaboraient avec les attaquants, tout cela à cause de la corruption. Si ces 2 organisations à travers la corruption parviennent à mettre la main sur ces armes biologiques américaines se trouvant au Kenya, ce sera la fin du monde.
- . Les bandits armés que la sécurité locale dans ces pays ne parvient pas à maîtriser peuvent aussi s’accaparer de ces armes biologiques pour le compte des mouvements hors la loi ci-haut cités moyennant une somme d’argent, sachant que ces mouvements sont très riches. Le cambriolage par les coupeurs de route en Guinée le 23/11/2014 d’un taxi qui transportait des échantillons du sang qui contiendrait le virus Ebola, peut être un bon exemple. La disparition de ces échantillons constitue un grand danger si ces bandits les vendaient à des groupes dits terroristes comme l’AQMI ou même Bokko Haram du Nigeria.
Avant de conclure, posons-nous quelques questions
- Les armes biologiques étant faciles à se procurer surtout par les mouvements hors -la -loi comme nous venons de le démontrer, une somme de 270 million de dollars mise en place par l’administration Obama en 2012 pour protéger les sites abritant les armes biologiques telles que Ebola, Anthrax et Rift Valley fever au Kenya et en Ouganda parviendra –t-elle à les sécuriser efficacement ?
- Est- ce que les dirigeants africains sont conscients du danger que leurs pays encourent en acceptant des armes biologiques sur leurs territoires ?
- Que fait l’organisation continentale, l’Union Africaine pour protéger les peuples africains et empêcher que le continent continue d’ être une compostière de déchets toxiques, armes chimiques et biologiques des occidentaux, et les peuples africains servir de cobayes pour tester ces armes ?
Après
la soi-disant vaccination qui n’était qu’une injection du virus Ebola chez les
noirs africains, une mise en scène-comme le nomme Francis Boyle- de l’armée américaine
pour combattre Ebola ou plutôt voir si l’arme biologique du DoD qui est Ebola OGM est bien efficace, et enfin une
mise en place d’un vaccin endéans
quelques mois au lieu des années et que ce dernier donne des resultats
prometteurs selon les occidentaux, tout cela nous montre que nous avons affaire
à des choses bien planifiées depuis longtemps.
Quoiqu’il en soit, il faut que les africains se réveillent de leur léthargie et prennent leur destinnée en mains. La révolution populaire qui vient de chasser un régime totalitaire vieux de presque 30 ans au Burkina Faso devrait réveiller les jeunes de tous les pays africains pour responsabiliser leurs dirigeants afin qu'ils sachent ques les intérêts supérieurs de la nation doivent primer sur les intérêts personnels et ceux des prédateurs étrangers. En plus, une création d’ organisations supranationales sur le continent africain vraiment indépendantes et opérationnelles pour protéger les peuples africains est vivement souhaitée, sinon demain les noirs africains disparaîtront comme des mammouths et les dinausors ! Il est aussi urgent que tous les pays ansi que les organisations impliqués dans cette épidémie d'Ebola qui prévaut en Afrique de l'Ouest donnent des compensations à toutes les victimes et travaillent d'urgence pour trouver un vaccin. Enfin, les peuples victimes doivent s'arranger pour amener les coupables devant la justice locale ou internationale.
Dr NKUSI Joseph
A Propos de l'auteur:
- NKUSI Joseph
- PhD en Planification et Dévéloppement Social + Diplome Supérieur en Médecine( Health Policy. Economics and Management)
- Professeur à l'université de Misrata en Libye. 2003- Jan.2007
- Professeur à l'université Nationale du Rwanda au Rwanda. Mars2007-Août 2009
- Chef de Département des Sciences Sociales(Université Nationale du Rwanda). Nov.2008-Août 2009
- Cherccheur Principal à UNIFOB GLOBAL, Bergen University au Norvège. 19 Août 2009-31 Déc.2009
- Propriétaire de Sites suivants: - Shikamaye.blogspot.com en Kinyarwanda
- shikamago.plogspot.com en ANGLAIS
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